DIAGRAMME EXPLICATIF
Diagramme original de William Glasser.
Des ajouts pour quelqu’un qui privilégie l’apprentissage comportement/pensée dans une approche plus rationnelle… |
1. Compte rendu du livre : WILLIAM GLASSER, États d’esprit – La puissance des perceptions, Éditions Le Jour, Montréal, 1982.
par François Leduc
Santé mentale au Québec, vol. 8, n° 1, 1983, p. 148-153
« Dès le début de l’ouvrage, le Docteur Glasser nous informe qu’il a adapté sa théorie à partir des travaux du psychologue William T. Powers sur le fonctionnement du cerveau humain. L’approche de W.T. Powers étant peu connue, il m’est apparu utile de la présenter à grands traits avant d’aborder à proprement parler l’adaptation que le Docteur Glasser en a faite.
Éléments de la théorie de William T. Powers
Dans un article récent, William T. Powers (1980) décrit les caractéristiques de son approche systémique de la conscience. Une approche systémique consiste en la construction d’un modèle grâce à des diagrammes, comportant des blocs interreliés de façon telle qu’ils puissent bien expliquer les phénomènes étudiés avec ce modèle.
Ces blocs représentent des entités ou des sous-systèmes qui ont chacun des propriétés individuelles. Appliquées au comportement humain, ces entités doivent être reliées entre elles de façons telles que cela puisse rendre compte de leurs interactions et de l’influence de l’environnement tant intérieur qu’extérieur sur le comportement de l’être humain.
L’apport de W,T. Powers fut de présenter en 1973 un système dont les entités représentées par les diagrammes ont été choisies soigneusement, non seulement pour se comporter comme il convient quand elles sont placées ensemble (comme les rouages d’un mécanisme), mais aussi pour leur conformité tant avec les indications anatomiques du système nerveux, les modèles physiques de l’organisme et de son environnement, et l’expérience subjective qu’avec la logique mathématique élémentaire. Il postule l’existence dans le cerveau d’unités fonctionnelles (hypothétiques) qui entrent en interaction les unes avec les autres et avec l’environnement pour maintenir l’organisme dans un état d’équilibre physiologique et psychologique. Pour expliquer leur dynamisme, il utilise un concept issu de la cybernétique, celui du système de contrôle par feedback négatif. Pour comprendre ce type de contrôle, prenons l’exemple d’un thermostat servant à régler la température d’une pièce. Un niveau de référence est situé dans l’appareil et tout écart enregistré dans la température ambiante provoque la mise en marche du système afin de réduire cet écart et d’amener la température perçue au niveau défini de référence.
Selon cette approche, nous aurions en nous un très grand nombre de schèmes de référence. Ceux-ci sont acquis tant par notre héritage génétique et ontologique que par notre éducation, notre culture et notre expérience subjective quotidienne. Notre équilibre serait donc atteint grâce à notre capacité (quelquefois très raffinée) de reconnaître, même «inconsciemment», l’écart entre notre scheme de référence et une perception issue de notre expérience. Lorsque nous constatons un écart, c’est notre comportement, entendu ici dans son sens large, que nous mettons en branle de façon sélective afin de contrôler les perceptions qui nous viennent. Nous cherchons ainsi à modifier nos perceptions pour qu’elles s’ajustent et correspondent à nos modèles (points de référence) mentaux. Ces modèles sont personnels à chacun de nous et ils sont notre représentation des constantes qui constituent notre perception de l’univers et de nous-mêmes, y compris notre moi.
(…)
Ces niveaux de perception ne sont pas arbitraires et ils correspondent à des fonctions spécifiques de parties ou de structures de notre système nerveux. Ce système inclut les connaissances scientifiques tant sur les réflexes spinaux que les noyaux sensoriels, le cervelet, le «vieux cerveau», le thalamus et le système limbique et les aires du cortex cérébral, qu’elles soient spécifiques ou de nature associative. Nous référons le lecteur à l’ouvrage de Powers (1980) pour les correspondances anatomiques des stations de comparaison.»
2. Document de travail de la Maison d’ Enfants d’Avenche s, située en Suisse, portant sur leur approche nommée Approche de la réalité .
SOURCE : http://www.meav.ch/documents/documents-enfants-ados/approche_educative.pdf
AJOUTS POUR LE WEB…Des ajouts pour quelqu’un qui privilégie l’apprentissage comportement/action dans une approche plus concrète… |
Ici, dans le contexte d’une classe d’élèves au secondaire (12-17 ans).
1. Une série de 9 vidéos réalisées dans la classe de Bob Cantin, enseignant au secondaire, CS des Affluents.
http://www2.cslaval.qc.ca/star/spip.php?page=recherche&lang=fr&recherche=Bob_Cantin
___________________________________________________________
Ici, dans le contexte plus général du rôle du personnel enseignant.
2. Une réflexion approprié sur l’importance du rôle du personnel enseignant de Clermont Barnabé.
« L’efficacité des écoles, la qualité de la vie au travail, la recherche de l’excellence et la qualité totale ont plusieurs points en commun. Quels que soient les termes utilisés, on retrouve presque toujours les mêmes propositions. Il faut reconnaître l école comme l’unité principale du système scolaire, traiter les enseignants comme des professionnels de l’éducation, leur accorder plus de participation à la prise de décision, créer un environnement plus favorable à l’apprentissage et plus satisfaisant pour les enseignants. Pour ma part, j’ai opté pour la qualité de la vie au travail parce que je la trouve plus englobante, moins réductionniste que les autres approches. Je demeure convaincu que l’amélioration de la qualité de la vie au travail des enseignants pourrait conduire à l’atteinte de l’efficacité organisationnelle.»
___________________________________________________________
Ici, dans le contexte d’un centre d’accueil pour jeunes.
3. La Thérapie de la réalité bénéficie maintenant de certaines études sur le terrain de la pratique. En voici une du Centre jeunesse de Québec-Institut universitaire (CJQ-IU)
Équipe L’Impact R.T.
Les impacts de la Thérapie de la réalité et de la théorie du choix dans quatre foyers de groupe du Centre jeunesse de Québec-Institut universitaire qui utilisent cette approche depuis cinq ans Sylvie Bilodeau, éducatrice au foyer de groupe Du Parc et les équipes des foyers de groupe Du Parc, Pie XI, Pelican et St-Louis.
p. 39 Conclusion
« À la lumière de cette recherche, nous sommes maintenant davantage en mesure de comprendre pourquoi l’utilisation de l’approche de la Thérapie de la réalité fonctionne si bien dans des équipes qui l’adoptent et l’utilisent régulièrement. Elle est gage de succès, entre autres à cause des résultats suivants :
– Le climat organisationnel dans les équipes est plus satisfaisant, les gens adhèrent et utilisent l’approche. Ils sont fiers du travail accompli.
– Il y a moins de contentions à faire pour les intervenants et à subir pour les enfants.
– L’ambiance est plus agréable pour tous et l’encadrement beaucoup moins cœrcitif.
– L’approche, qui prône un encadrement bienveillant et de préserver l’estime de soi en tout temps, contribue à augmenter le bien-être des enfants en souffrance qui doivent être hébergés dans nos services.
Ainsi, les attitudes dures et les « jeux de pouvoir » qui pouvaient être utilisés autrefois cèdent la place à l’enseignement, l’accompagnement et les apprentissages. Les parents et les enfants témoignent qu’ils ont de meilleures relations avec les autres et sont engagés plus positivement suite à leur passage dans nos services. Les besoins des jeunes et de leurs parents concordent avec les services que nous leur offrons et ils apprécient notre façon d’intervenir et les résultats obtenus. L’approche fait appel à l’intelligence, à l’autocontrôle, aux habiletés de l’intervenant et à son expertise. Du simple exécutant qui utilise « son gros bon sens », l’intervenant devient un clinicien en contrôle de ses processus. De jeune en difficulté, l’enfant devient un jeune avec des capacités.
Cette recherche aura donc permis de témoigner de façon concrète des résultats obtenus avec l’utilisation de l’approche de la Thérapie de la réalité et de la Théorie du choix. Elle a également servi à articuler davantage notre pratique en nous incitant à mieux la décrire et à se rapprocher du monde de la recherche. Si cette recherche peut maintenant servir à démontrer à nos collègues et collaborateurs, la pertinence d’utiliser la Thérapie de la réalité dans l’ensemble de nos services, ils semble qu’elle se révèlera être un des meilleurs investissements fait pour les enfants présents et à venir qui passeront par nos foyers. »
___________________________________________________________
Ici, dans le contexte d’un centre d’accueil pour jeunes.
4. Finalement, une présentation Power Point du cours EDU 5671 de la Faculté de l’éducation de l’Université d’Ottawa par le Professeur André Samson Ph. D,.c.o.
Le site original : www.choixdecarriere.com/ppt/5671/EDU5671-(semaine11).ppt )
___________________________________________________________
Ici, dans le contexte d’un centre de traitement des dépendances.
5. Le Rucher
L’approche « RÉALITÉ THÉRAPIE »
La « réalité thérapie » est une approche basée sur le « ici et maintenant ». Elle est aussi appelée « théorie du choix et du contrôle » puisque l’individu est en recherche constante d’équilibre entre ses cinq besoins, le plaisir, la survie, le pouvoir, l’appartenance et la liberté. Tel son nom en témoigne, cette approche est basée sur la réalité de l’individu. Dès lors, l’intervention est toujours en fonction de ce que veut et recherche l’individu, ce qui est important pour lui, en lien avec son monde qu’il a défini comme « idéal ». Il est donc important que le résident évalue le réalisme de ce « monde idéal » et qu’il corrige sa vision de lui-même en identifiant ses valeurs, ses croyances, ses connaissances, ses expériences, ses besoins, ses idées, ses émotions et ses comportements …
EN BREF, La « thérapie réalité » amènera le résident à :
-
Clarifier son monde idéal (idéal de vie), à satisfaire ses besoins de façon responsable et autonome sans participer à sa propre destruction.
-
Développer un nouveau mode de vie plus harmonieux sans avoir recours à la consommation.
-
Avoir une vision plus juste de soi et de la réalité.
-
Choisir une nouvelle orientation à sa vie.
-
Choisir de nouveaux défis plus positifs lui permettant d’aller de l’avant.
AJOUTS POUR LE WEB…Des ajouts pour quelqu’un qui privilégie l’apprentissage comportement/émotion dans une approche plus près d’un témoignage de vie… Je proposerai un blogue qui se développera selon les interventions des internautes… |
À suivre…
Une vidéo incontournable d’une expérience sur les perceptions de l’Université Harvard.
«Le socioconstructivisme met l’accent sur le rôle de l’autre dans la construction des savoirs. Vygotski souligne qu’il existe des processus intrapersonnels et interpersonnels: la modification et régulation des représentations se fait en interagissant avec les autres. La culture (dans le sens anthropologique du terme) est le filtre socio-cognitif qui permet de donner du sens à la réalité. Les méthodes basés sur le socioconstructivisme privilégient le travail coopératif, la collaboration, la co-construction des savoirs, pratiques censées générer aussi plus de motivation et de valorisation de soi. »
http://www.elearning-concepts.com/terminologie_constructivisme_socioconstructivisme.htm
Il est intéressant de constater que la prédominance de l’appartenance, telle qu’identifié dans la Théorie du choix, est aussi reconnue par le socioconstructivisme dans la construction des savoirs. Les enseignants de ma génération connaissent très bien la taxonomie de Bloom.
«La taxonomie de Bloom organise l’information de façon hiérarchique, de la simple restitution de faits jusqu’à la manipulation complexe des concepts, qui est souvent mise en œuvre par les facultés cognitives dites supérieures . »
Ce système interne du fonctionnement cognitif isole le sujet de son environnement humain. La pédagogie traditionnelle oubliant ainsi qu’il est fondamental pour l’enseignant de créer un lien significatif avec l’élève s’il vise des objectifs cognitifs supérieurs. Par contre, le diagramme du fonctionnement du cerveau selon Glasser teinte toute connaissance d’une appréciation subjective (vert = sentiments plaisants, jaune = sentiments neutres et rouge = sentiments douloureux) filtrée par la culture ambiante, elle-même liée au besoin d’appartenance.
Dans la Théorie du choix, l’enseignant devient l’accompagnateur avec son propre besoin d’appartenance et l’élève devient l’apprenant avec son propre mécanisme interne d’apprentissage.
The Backwards Brain Bicycle
Jacques Noël
Cyberauteur
1.http://agora.qc.ca/Documents/Claude_Bernard–Le_normal_et_le_pathologique_selon_Claude_Bernard_par_Jacques_Dufresne 2. http://www.webdlambert.com/dossier-resilience.html 3. Cette image me vient de Françoise Dolto. 4. GLASSER, William, édition française de The Quality School : Managing Students without Coercion, New York, Haroer and Row (1989) 5. GLASSER, William, Vivre ensemble [trad. de l’américain par Jean-Pierre Laporte] – Glasser, William, 1925- – 1996 6. Les renoncements nécessaires (« Necessary Losses », 1986), 1988, éditions Robert Laffont, Paris, ISBN 978-2-266-10085-4 7. http://www.relation-aide.com/dos_description.php?id=21&cat=5
8. http://www.maisonmonbourquette.com
9. PECK, Scott, Le chemin le moins fréquenté, Ed. J’ai lu,
10. Les connexions par synapses, ne sont pas fixes, elles se font et se défont sans arrêt. On estime à 1O puissance 14 (10 suivi de 14 zéro) le niveau moyen de liaisons synaptiques chez un adulte. Aucun modèle mathématique ne permet aujourd’hui de rendre compte d’une telle complexité.(www.cerveaudroit.ouvaton.org/article.php3?id_article=8)
11. Drame de Polytechnique : http://fr.wikipedia.org/wiki/Tuerie_de_l’%C3%89cole_polytechnique_de_Montr%C3%A9al 12. DOLTO, Françoise, L’Evangile au risque de la psychanalyse T.2. Ed. Points Essais, 1982 13. HÉTU, Jean-Luc, Quelle foi? (Une rencontre entre l’évangile et la psychologie)
Traduction de Reality Therapy A New Approach to Psychiatry ©Harper et Row, 1965 |
Né en 1925, le Dr. William Glasser s’est spécialisé en psychiatrie, après avoir fait des études de chimie, psychologie et médecine. Il exerce actuellement(NDLR : édition de 1965), à Los Angeles et collabore au programme de réhabilitation des adolescents délinquants de la California Youth Authority. Il est également psychiatre à l’école de filles de Venture. Il y a deux besoins essentiels : aimer et être aimé, s’estimer soi-même et être estimé d’autrui. Le Dr. Glasser a découvert progressivement que l’incapacité de satisfaire ces deux besoins entraînait nécessairement une inadaptation de la personne. La « Reality Therapy », très différente des méthodes psychanalytiques classiques, nouvelle approche thérapeutique par le réel, répond à ces problèmes. Par un lien personnel intense, un affrontement de la réalité et le rejet du comportement irresponsable, elle replace le « malade » dans le réel et dans la vie. Les psychothérapeutes, les éducateurs et tous ceux qui s’intéressent à la croissance et à la santé de l’être humain liront ce livre, souvent avec étonnement, toujours avec intérêt. |
Résumé de lecture |
http://www.psycho-ressources.com/bibli/glasser.html
Glasser, W. (1971). La thérapie par le réel, la « reality therapy », Paris: Édition française EPI, collection Hommes et Groupes.
Par Alain Rioux, Psychologue Québec, Canada.
Éd. Logiques 1999 ISBN 2-89381-382-8 |
Quand on éprouve des difficultés psychologiques, on croit parfois qu’il faut remonter dans son passé et scruter son inconscient. Mais William Glasser propose une approche tout à fait différentes : la thérapie de la réalité. Pour lui, on n’est pas malheureux parce qu’on a eu une enfance difficile. On est malheureux parce qu’on arrive pas à satisfaire ses besoins psychologiques essentiels et à tenir compte de ceux des autres. William Glasser explique ici ce qu’est la thérapie de la réalité et comment on peut la mettre en pratique. Avec cette approche, les thérapeutes, psychiatres, psychologues, travailleurs sociaux, éducateurs, enseignants, conseillers, parents, aideront la personne en difficulté à : Voir sa réalité personnelle et interpersonnelle telle qu’elle est ; Arrêter de se donner des excuses et cesser d’accuser les autres ; Développer son intégrité ; Touver des façons efficaces de satisfaire ses besoins ; S’épanouir en surmontant les obstacles qu’elle rencontre. Dans un langage accessible à tous, Glasser démontre comment il a obtenu plus rapidement des changements en utilisant cette approche. A l’aide de cas vécus en consultation privée et avec des jeunes délinquants, des élèves difficiles, des toxicomanes et des patients psychiatriques, il donne les clés de cette thérapie novatrice. |
LA THÉORIE
LA PRATIQUE
|
Éd. Logiques 1999 ISBN 2-89381-586-3 |
Vivre sa vie tout en étant en harmonie avec les autres est un objectif que nous voulons tous atteindre. Comment convaincre les autres sans les contrôler ? La psychologie du choix propose une approche efficace pour réussir ses relations humaines. Le Dr Glasser applique la psychologie du choix depuis plus de vingt ans. À l’aide de cette méthode, il obtient des résultats constructifs autant avec des parents, des couples, des enseignants, des dirigeants d’entreprise qu’avec des délinquants ou des étudiants démotivés. Dans La liberté de choisir, grâce à des explications claires, vous comprendrez qu’il n’est pas nécessaire de retourner dans votre passé pour changer votre comportement actuel. Vous découvrirez comment : Connaître vos besoins psychologiques essentiels ; Informer clairement les autres de vos besoins avant de faire vos choix ; Laisser les autres prendre leurs responsabilités, y compris les enfants et les adolescents ; Concilier vos désirs avec ceux des personnes qui vous sont chères. En appliquant la psychologie du choix, vous vous sentirez plus libre, vous vous adapterez plus facilement aux changements et vous développerez une aptitude à être heureux. |
Première partie : La théorie Chapitre 1 : Une nouvelle psychologie Chapitre 2 : Les besoins fondamentaux et les sentiments
Chapitre 3 : Notre monde de qualité Chapitre 4 : Le comportement global
Chapitre 5 : La compatibilité, la personnalité et l’intensité de nos besoins
Chapitre 6 : Les conflits et la thérapie de la réalité Chapitre 7 : La créativité
Deuxième partie : La pratique Chapitre 8 : L’amour et la vie de couple
Chapitre 9 : La confiance et la famille
Chapitre 10 : Le bourrage de crâne, l’éducation et les écoles qualité
Chapitre 11 : La psychologie du choix en milieu de travail
Troisième partie : l’application Chapitre 12 : La communication qualité
Chapitre 13 : Recouvrer sa liberté
|
ISBN 2-89461-063-7 |
GLASSER, William. La théorie du choix, Chenelière/McGraw-Hill, 1997, 281 p.
ISBN 2-89381-313-5 |
Pour atteindre la qualité à l’école, il est essentiel d’éliminer toute forme de blâme, de critique et de contrainte. William Glasser révèle que l’encadrement coercitif traditionnel est la source des problèmes en éducation. Puis il montre comment on peut remplacer un système fondé sur le contrôle par un système fondé sur la coopération entre élèves et enseignants. Dans L’ÉCOLE QUALITÉ, William Glasser explique comment : Cesser de pousser dans le dos des élèves ; Enseigner d’une façon qui satisfait leurs besoins véritables ; Améliorer les comportements en s’appuyant sur la fierté personnelle ; Encadrer le leadership et l’influence plutôt que la contrainte ; Créer dans l’école un climat amical ; Implanter une approche orientée sur la qualité ; Instaurer l’apprentissage coopératif ; Intéresser les jeunes à la gestion de l’école. William Glasser démontre qu’on peut convaincre les élèves de travailler fort si l’on met l’accent sur la qualité, la fierté et le choix. On peut obtenir de grands résultats avec les jeunes : cela dépend de ce qu’on demande et de la façon dont on le demande. Glasser, William. L’école qualité : enseigner sans contraindre PARIS : Les Editions logiques, 1996. 365 p.. ISBN 2-89381-313-5 |
|
ISBN 2-89381-587-1 |
La moitié des jeunes réussissent à l’école sans travailler suffisamment pour faire fructifier pleinement leurs talents et leurs aptitudes. Ils poursuivent leurs études, mais ils deviennent en quelque sorte des décrocheurs. De leur comportement émerge un constat : le système de récompense et de punition appliqué par les parents et les enseignants jusqu’à maintenant a échoué. Dans Choisir d’apprendre, William Glasser affirme qu’un jeune travaille à l’école uniquement s’il en retire une satisfaction. Il explique comment les parents et les enseignants peuvent amener les jeunes à aimer apprendre tout en comblant leurs besoins psychologiques essentiels. Il démontre l’importance pour les jeunes de l’apprentissage en équipe. À l’aide de cette approche, les jeunes adoptent de nouvelles attitudes envers leurs responsabilités et leur développement. Apprendre devient stimulant, et ils travaillent avec enthousiasme. Les parents et les enseignants éprouveront une plus grande satisfaction à jouer leur rôle d’éducateur. Glasser William, M. D.Choisir d’apprendre : la psychologie du choix en classe Montréal : Logiques, 1998. 160 p. |
|
ISBN 2-89381-383-6 |
Pour appliquer l’amélioration continue de la qualité initiée par W. Edwards Deming, un nouveau style de direction est nécessaire. Pour y arriver, le leader devra développer le sens de la responsabilité et motiver ses collaborateurs à produire de la qualité par choix et par fierté. Dans Contrôler ou influencer, William Glasser décrit sa théorie du choix. En termes simples et directs, il explique comment cette approche peut devenir un outil pratique pour tout dirigeant ou responsable d’équipe qui désire devenir un leader qualité: responsabiliser ses collaborateurs ; influencer par son expérience et non par son pouvoir; amener ses employés à donner le meilleur d’eux-mêmes. William Glasser et ses consultants ont appliqué cette approche avec succès sur tous les continents, tant dans les entreprises privées que dans les organisations publiques. Les dirigeants leaders qu’ils ont formés constatent que cultiver la qualité de vie au travail est la condition essentielle pour l’obtention d’un travail de qualité. GLASSER, William. Contrôler ou influencer : Le leader qualité, Canada, Les éditions Logiques, 1997, 131 p. |
|
ISBN 2-89381-351-8 |
Rencontrer un partenaire vraiment compatible, est-ce possible? De quelle manière peut-on reconnaître l’homme ou la femme qui nous convienne? Mais surtout, comment faire en sorte que sa relation de couple soit vraiment satisfaisante? Dans Vivre ensemble, William Glasser fournit des outils pour trouver un partenaire compatible. On y apprend à mieux se connaître… et à mieux connaître son partenaire. Grâce à des exemples concrets, on pourra : Découvrir les besoins particuliers de son partenaire; Équilibrer ses besoins d’amour et de liberté, de pouvoir et de plaisir; Comprendre l’impact de la sexualité dans sa personnalité et dans celle de son partenaire; Découvrir ce qui apporte le plus de satisfaction à l’un et à l’autre; Connaître les types de personnalité incompatibles avec la vie de couple; Décider ce que l’on peut changer pour améliorer sa relation. Dans Vivre ensemble, le Dr Glasser emploie le ton de la confidence. Tout en exposant sa théorie, il raconte comment il a réussi son premier, mariage (quarante-six ans!) et comment il a choisi sa deuxième femme, une fois veuf ! Grâce à Vivre Ensemble, il est possible de choisir le bon partenaire et de vivre une vie de couple enfin harmonieuse. |
ISBN 2-89381-385-2 |
Souvent on veut changer mais on n’en a pas la force ! La force psychologique, ça se développe. Tout comme on choisit la plupart de ses malheurs, on peut choisir de devenir plus fort. Vous nous dites : « Je vais pratiquer un sport, méditer, faire des exercices, du yoga, marcher », mais ces bonnes résolutions ne durent pas. Cependant, si vous vous adonnez à une activité assez longtemps et avec une attitude constructive, vous ne pourrez plus vous en passer ! Comment parvenir à ce stade où vous serez accroché à votre drogue positive ? Le Dr William Glasser a rencontré des gens qui pratiquent des activités qui font du bien au corps et à l’esprit, et vous révèle ici leurs secrets. Dans Les Drogues positives, vous trouverez de nombreuses réponses à vos questions : Comment choisir une activité qui deviendra « votre drogue » ? A quoi penser pendant que vous vous adonnez à cette activité ? Que ressentez-vous lorsque vous atteignez l’état de « drogue positive » ? Combien de temps par jour devez-vous y consacrer ? Dans combien de temps serez-vous « accroché »? Si vous pouvez devenir dépendant de substances et d’habitudes nocives, vous pouvez aussi devenir accro de drogues positives. En pratiquant ces activités, vous développerez de nouvelles forces : vos dépendances positives vous aideront alors à vous débarrasser de vos dépendances négatives. |